Retour sur une oeuvre que nous vous avions déjà présentée: la symphonie fantastique de Berlioz. Alors, nous évoquions le deuxième mouvement, intitulé Un Bal, où le compositeur se rêvait dansant avec la femme aimée… Dans la marche au supplice, il a tué celle-ci par passion, est condamné à mort, et est conduit à l’échafaud… La pression monte, tandis que le condamné ne pense qu’à une chose, la femme qu’il aime… Au dernier moment, à 4:20, il la voit, l’accueillant dans la mort… Et le couperet tombe brutalement, laissant place aux acclamations de la foule…
Leonard Bernstein est ici à la direction.